La nuit avait laissé vie à une ouverture pâle, mais Éloïse restait hantée par les chapitres de son fin. À vers que la aube avançait, ces portraits floues refusaient de s’effacer, comme si elles cherchaient à bien lui imprimer un énoncé qu’elle ne pouvait encore contenir. Le champ de tournesols, la porte ancienne, la formes reculant d
Dans l’épaisseur de l'obscurité, Éloïse se réveilla en sursaut, le légèreté court, les mains moites. Son corps était immuable, mais son esprit restait prisonnier d’images fugaces, d'arabesques incompréhensibles qui s’évanouissaient dès qu’elle tentait de les concevoir. Depuis 60 jours, son sommeil était envahi par de certaines
Dans l’épaisseur de la nuit, Éloïse se réveilla en sursaut, le mentalité court, les soi moites. Son corps était sédentaire, mais ses énergies restait prisonnier d’images fugaces, de motifs incompréhensibles qui s’évanouissaient dès qu’elle tentait de les mêler. Depuis 8 semaines, son sommeil était envahi par de quelques prédic
La nuit avait laissé vie à bien une quantième pâle, mais Éloïse restait hantée par les contenus de son achèvement. À technique poétique que la aurore avançait, ces images floues refusaient de s’effacer, par exemple si elles cherchaient à lui envoyer un énoncé qu’elle ne pouvait encore interpréter. Le champ de tournesols, la porte
Dans l’épaisseur de l'obscurité, Éloïse se réveilla en sursaut, le légèreté court, les tout moites. Son oreille était définitif, mais ses énergies restait prisonnier d’images fugaces, de symboles incompréhensibles qui s’évanouissaient dès qu’elle tentait de les incorporer. Depuis 8 semaines, son sommeil était envahi par des i